Je me souviens qu'à une Noël, je ne sais plus, je devais avoir... peut-être 7 ans, on m'a offert une maison de Barbie. Une de ces maisons qui à l'époque étaient juste un assemblage de barres en plastique blanc et de plaques en carton rose.
Je me souviens dès le départ de ma déconvenue en voyant l'édifice complètement monté. C'était ... bancal.
Enfin, tout était aligné, carré, rose et blanc. Mais à l'oeil... ça semblait bizarre.
Bon, il est vrai que déjà monsieur l'Architecte de chez Mattel n'avait pas le compas dans l'oeil. Parce que bon, Barbie la pauvre avait les pattes qui dépassaient du lit. Pour caser Barbie ET son Jules dans le pieu, c'était du domaine de l'impossible. La pauvre blondasse frôlait le plafond dès qu'elle mettait des talons et devait être pliée en 2 pour tenir dans l'ascenseur.
Sans compter le fait que, vu comment Barbie est blindée de thunes, elle pourrait au moins se faire un garage pour mettre la Barbiemobile décapotable.
Enfin bref, le fait est que l'autre jour, dans le car en direction de Washington, j'ai vu cette baraque blanche.
Rien de bien incroyable pour ici. Mais j'ai compris pourquoi les maisons de Barbie sont bancales.
Elles sont juste américaines. Enfin, nord-américaines.
La maison de Barbie explique à elle seule les différences architecturales entre les maisons européennes (ou du moins françaises) et les maisons d'ici.
Voilà, c'est à ce genre de trucs que je pense, quand je n'arrive pas à dormir.
1 commentaire:
BON DEPART
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